Localisation nid de frelons asiatiques – Rue du Buisson

La Mairie vous informe qu’il semblerait qu’il y ait un nid de frelons asiatiques

près de chez vous,

=> aux alentours de la rue du Buisson (voir carte ci dessous ).

Merci de bien vouloir nous contacter si vous avez des informations sur sa localisation exacte :

Par mail à serviceciviquevilliers@laposte.net

Par téléphone au 01 64 24 21 03

 

Pour rappel, nous vous informons que :

La prédation importante des frelons asiatiques a une incidence sur les espèces autochtones, notamment les abeilles. Dû à la douceur du climat en ce mois de novembre, les frelons n’ont pas encore quitté leur nids et il est donc urgent de les éliminer tant qu’il est encore temps.

 

Merci de votre aide !

 

Le nid peut ressembler à cela :

Journée nationale de commémoration de la Victoire et de la Paix

Journée nationale de commémoration de la Victoire et de la Paix,

Hommage à tous les « Morts pour la France » – 11 novembre 2020

 

Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants

C’était il y a un siècle.

Ce 10 novembre 1920, la Grande Guerre est achevée depuis deux ans. Dans la citadelle de Verdun, Auguste THIN, soldat de deuxième classe et pupille de la Nation, dépose un bouquet d’œillets blancs et rouges sur le cercueil d’un soldat. Un parmi tous les combattants des Flandres, de l’Artois, de la Somme, du Chemin-des-Dames, de Lorraine, de la Meuse… Un de ces braves ! Un des poilus qui participa à une interminable guerre. Un de ces Français qui œuvra à la tâche incommensurable de la Victoire.

Un parmi des milliers qui est devenu le Soldat inconnu.

Le 11 novembre 1920, le peuple de France l’accompagne solennellement sous les voûtes de l’Arc de Triomphe. La patrie, reconnaissante et unanime, s’incline respectueusement devant son cercueil, en saluant la mémoire de tous les soldats morts sous le drapeau tricolore.

Quelques mois plus tard, il était inhumé. Depuis 1923, la Flamme du Souvenir veille, nuit et jour, sur la tombe. Chaque soir, elle est ravivée pour que jamais ne s’éteigne la mémoire. La sépulture du Soldat inconnu est devenue le lieu du recueillement national et le tombeau symbolique de tous ceux qui donnent leur vie pour la France. Cet anonyme représente chacun de nos morts et tous nos morts en même temps.

Cette mémoire vit également dans chacune de nos communes, dans chaque ville et village de France, dans chacun de nos monuments aux morts, dans chacun des cimetières, dans nos mémoires familiales. Elle vit dans l’œuvre de Maurice GENEVOIX qui entre aujourd’hui au Panthéon. Le Président de la République l’a souhaité en l’honneur du peuple de 14-18.

Maurice GENEVOIX n’entre pas seul dans le temple de la Nation. Il y entre en soldat des Eparges, en écrivain et en porte-étendard de « Ceux de 14 ». Il y entre avec ses millions de frères d’armes, ceux dont il a immortalisé le souvenir, l’héroïsme et les souffrances. Il y entre avec toute la société, de la première ligne à l’arrière, mobilisée face à l’adversité et qui a tenu avec une admirable endurance.

8 millions de soldats combattirent sous les couleurs de notre drapeau, aucun d’entre eux ne revint totalement indemne. Des centaines de milliers furent blessés dans leur chair comme dans leur âme. 1 400 000 tombèrent au champs d’honneur. Nous ne les oublions pas. Inlassablement, nous les honorons.

Chaque 11 novembre, la Nation rend également un hommage solennel à tous les morts pour la France, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui. Chaque année, nous rappelons leur nom.

Chaque 11 novembre est un moment d’unité nationale et de cohésion autour de ceux qui donnent leur vie pour la France, de ceux qui la servent avec dévouement et courage. En ces instants, au souvenir des évènements passés et aux prises avec les épreuves de notre temps, nous nous rappelons que c’est tout un peuple, uni et solidaire, qui fit la guerre, qui la supporta et en triompha.

 

MORTS POUR LA FRANCE
11 NOVEMBRE 2020

  • Chef de bataillon Clément FRISON-ROCHE, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Chef de bataillon Benjamin GIREUD, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Chef d’escadrons Nicolas MÉGARD, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Capitaine Pierre-Emmanuel BOCKEL, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Capitaine Alex MORISSE, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Major Julien CARETTE, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Maréchal des logis Romain SALLES DE SAINT-PAUL, 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC), mort pour la France ;
  • Chef d’escadrons Romain CHOMEL de JARNIEU, 4e régiment de chasseurs (4e RCH), mort pour la France ;
  • Adjudant Alexandre PROTIN, 4e régiment de chasseurs (4e RCH), mort pour la France ;
  • Maréchal des logis-chef Valentin DUVAL, 4e régiment de chasseurs (4e RCH), mort pour la France ;
  • Maréchal des logis-chef Antoine SERRE, 4e régiment de chasseurs (4e RCH), mort pour la France ;
  • Adjudant Jérémy LEUSIE, 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM), mort pour la France ;
  • Adjudant Andreï JOUK, 2e régiment étranger de génie (2e REG), mort pour la France ;
  • Caporal-chef Volodymyr RYBONTCHOUK, 1er régiment étranger de génie (1er REG), mort pour la France ;
  • Brigadier-chef Dmytro MARTYNYOUK, 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC), mort pour la France ;
  • Brigadier Kévin CLÉMENT, 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC), mort pour la France ;
  • Brigadier Tojohasina RAZAFINTSALAMA, 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP), mort pour la France ;
  • Maréchal des logis Andy FILA, 14e régiment d’infanterie et de soutien logistique parachutiste (14e RISLP), mort pour la France ;
  • Maréchal des logisT, 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP), mort pour la France ;
  • Brigadier Arnaud VOLPE (prononcer VOLPÉ), 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP), mort pour la France.

 

 

IMPORTANT – BUDGET PARTICIPATIF REGIONAL

MAIRIE DE VILLIERS-SOUS-GREZ , le maire s’adresse à vous …

Budget participatif régional => Important – Urgent

  • Votez!  et  faites voter !  sans attendre.

Un enjeu considérable pour les habitants :

70 % financés par subventions pour nos 12 projets.

100 % financés par des aides  pour 2 projets d’associations.

Ces projets concernent le bien être de tous les habitants jeunes comme anciens de notre village.

Mobilisez vos enfants, parents, amis …

Les projets ayant reçu le plus de voix seront retenus par la Région.

A l’heure où les subventions se font de plus en plus rares (voir le Plume tambour),

ceci est une opportunité à saisir .

Vous pouvez voter pour plusieurs projets mais une seule fois par projet. Utilisez toutes les adresses courriels en votre possession et celles de votre famille. Je vous incite à voter pour les 14 projets Villarons. Nos parents, amis peuvent soutenir nos projets même s’ils résident ailleurs.

En cliquant ci dessous, vous trouverez dans le document la procédure pour accéder au site internet régional et pour voter.

=> Procédure

Lien vers le site internet regional : https://budgetparticipatif.smartidf.services

MOBILISONS NOUS POUR DES PROJETS D’AVENIR !!!

 

 

Accès déchèterie de Nemours

Depuis la réouverture des déchèteries selon les conditions habituelles*, la fréquentation est très importante

Les Services Techniques des communes ainsi que les entreprises collectant les dépôts sauvages pour le compte des bailleurs sociaux bénéficient d’un accès prioritaire, sans rendez-vous, sur la déchèterie de Saint-Pierre-lès-Nemours uniquement.

Il est fortement conseillé d’accéder par l’avenue Carnot en cas de file d’attente importante (plus de 200 mètres de file d’attente mercredi 3 juin).

En cas de volumes important à déposer, merci de nous en informer en amont.

Rappel : tout meuble ou élément de mobilier qui peut être démonté ou cassé permettra d’optimiser le chargement de la benne.

Horaires du lundi au samedi : 9h-12h / 14h-18h.

Fermeture : merci de prévoir d’arriver 10 à 20 minutes avant l’heure de fermeture, selon la quantité de déchets à décharger.

* à l’exception des textiles, et avec quelques aménagements liés au respect des consignes sanitaires).

8 Juin 2020 – Journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine

8 juin 2020

Journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine

Message de Geneviève DARRIEUSSECQ, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées :

C’était il y a 70 ans. La guerre d’Indochine durait depuis quatre ans. Nos combattants affrontaient un adversaire courageux et résolu. Ils défiaient la maladie et la dureté des éléments, ils souffraient de l’éloignement et de l’indifférence, ils combattaient aussi la fatigue, la peur et les privations.

A l’automne 1950, le long de la frontière sino-tonkinoise, dans les opérations visant à évacuer les troupes françaises, la Route Coloniale 4 a pris les traits d’un abîme infranchissable. Dans la jungle dominée par des pitons, dans la boue des rizières, les troupes françaises ont lutté pendant plus de quinze jours aux prises avec l’Armée populaire vietnamienne. 5 000 soldats français ont été tués, blessés ou faits prisonniers. Trois mille prisonniers ont connu l’enfer de marches interminables, de la captivité dans les camps et pour beaucoup de la désolation d’une mort loin de chez eux. Souvenons-nous de ceux de Cao Bang, de Dong Khê et de That Khê ! Ce fut un tournant de la guerre, une onde de choc qui a ému la France.

En cette « journée nationale », nous rendons hommage aux « morts pour la France » en Indochine de 1940 à 1954. Plus largement, la Nation pense avec respect à l’ensemble des soldats qui ont combattu pour ses couleurs à l’autre bout du monde. Nous honorons aussi ceux qui ont résisté aux forces japonaises à partir de 1940 et ceux qui ont été victimes du coup de force du 9 mars 1945.

Le 8 juin 1980, il y a 40 ans, le soldat inconnu des guerres d’Indochine était inhumé en la nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette. Il repose depuis aux côtés des soldats inconnus de la Grande Guerre, de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre d’Algérie. Ainsi, la mémoire des soldats d’Indochine rejoignait fièrement celle de leurs frères d’armes des conflits précédents.

L’année dernière, le Premier ministre a rendu un hommage officiel à tous les combattants d’Indochine dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides. Il leur a réaffirmé avec force la reconnaissance pleine et entière de la France. Ses mots résonnent toujours : « Cette guerre nous oblige à poursuivre le travail de mémoire. […] Elle nous oblige également à consolider la paix avec l’adversaire d’hier, qui, comme tant d’autres, est le partenaire, l’ami d’aujourd’hui. […] Cette guerre nous oblige enfin à reconnaitre la chance unique qu’a la France de pouvoir compter, génération après génération, sur des hommes et des femmes prêts à sacrifier leur vie pour ses valeurs et ses citoyens. »

 

Cette journée d’hommage donne lieu à des cérémonies commémoratives sur l’ensemble du territoire.

Instituée par le décret n° 2005-547 du 26 mai 2005, cette journée d’hommage correspond au jour du transfert à la nécropole nationale de Notre-Dame de Lorette, de la dépouille du Soldat Inconnu d’Indochine, le 8 juin 1980.

Un mémorial dédié aux morts pour la France en Indochine est implanté à Fréjus sur une hauteur dominant la ville. Inauguré en 1993 par le président de la République, il abrite près de 24 000 sépultures de militaires et de civils morts en Indochine.

Le site Internet Mémoire des hommes permet de consulter en ligne la base de données des morts pour la France au cours de la Guerre d’Indochine (1945-1954). Conservée par le Service historique de la Défense, elle a été constituée par la saisie et l’indexation d’un fichier établi par le ministère des Anciens combattants au lendemain de ce conflit.

Pour en savoir plus :

Décret n° 2005-547 du 26 mai 2005 : www.legifrance.gouv.fr

“Morts pour la France” en Indochine : www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

27 Mai 2020 – Journée nationale de la Résistance

27 mai 2020 – Journée nationale de la Résistance

Message de Geneviève DARRIEUSSECQ, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées :

C’était il y a 80 ans, c’était la douloureuse année 1940. Dans l’accablement général, le « non » du premier jour dessinait un nouvel espoir. Le général de Gaulle avait insufflé une volonté, belle mais redoutable, enthousiasmante mais périlleuse. Celle du maintien, en tout lieu, de la France au combat, pour que, à l’heure de la victoire, ce mot se proclame toujours en français.

C’était il y a 75 ans, la victoire était là ! La Résistance intérieure avait apporté une contribution essentielle à la Libération. Les « Jours heureux » du Conseil National de la Résistance nourrissaient l’espérance des lendemains.

5 ans de lutte, de faits d’armes, de petites et de grandes actions : un attentiste prudent devenu agent de renseignements, une pourvoyeuse de tracts et de journaux clandestins, un couple de passeurs à l’abnégation sans borne, un réfractaire au STO venu grossir les rangs des maquis, un jeune saboteur minant les lignes de communication de l’ennemi, un combattant de la nuit devenu insurgé au grand jour. La Résistance était le courage de ces individus issus de tous les horizons, une fraternité au combat. Elle était ces réseaux d’action mais aussi ces grands mouvements qui préparaient et qui organisaient patiemment, en souterrain, le retour de la liberté dans la métropole.

Pour que le but fut atteint, il fallait sans cesse, à mesure des évènements, poursuivre l’effort en défiant les risques. Tués dans les maquis, fusillés au petit matin, torturés dans les caves, déportés dans les camps, le dernier souffle de nos héros a bien souvent crié « Vive la France » avant de s’éteindre. Chaque sacrifice était un pas de plus vers la Libération et venait exalter le courage des vivants.

Chaque 27 mai, nous honorons « l’armée des ombres » et nos éclaireurs de la liberté. Qu’ils soient célèbres ou anonymes, qu’ils soient les héros de tout le pays ou l’emblème d’un village, ils peuplent nos rues, nos places, nos écoles. Ces noms, nous ne devons pas les oublier. La reconnaissance de la Nation ne faiblit pas car nous savons que nous devons tant à ces femmes et à ces hommes.

Chaque 27 mai, nous nous souvenons de la première réunion du Conseil National de la Résistance. Ce jour de 1943 couronnait les efforts de Jean Moulin qui avait reçu la mission essentielle d’unifier la Résistance. Des mouvements, des partis, des syndicats ont uni leurs forces pour répondre à l’abaissement et pour préparer les réformes de la France libérée. Tous ont su, dans l’épreuve, s’élever au-dessus des désaccords et des différences idéologiques, pour placer haut l’intérêt supérieur de la patrie. Le combat pour l’unité de la Résistance, ce fut assurément le combat pour une France unie à l’heure de la victoire, pour une France prête à bâtir le monde de demain.

Chaque 27 mai, cette journée nationale est un appel à la jeunesse. Le combat pour l’unité, pour la solidarité, pour la dignité humaine, est toujours d’une brûlante actualité. Poursuivons-le !